Salut mes amis—c’est moi Alex! C’est Halloween ici aux États-Unis, une journée qui est très célébrée. Surtout aux universités, le weekend d’Halloween c’est le weekend plus plein de fêtes. En fait, c’était difficile de décider quoi d’être cette année, alors j’aimerais bien entendre vos idées pour la Halloween suivante! Voilà mon déguisement pour la dernière année, dis-moi si tu le reconnais :
Mais l’idée d’Halloween change pendant la vie. Quand nous somme petits, on fait le “trick or treat”. On l’appelle “trick or treat” parce qu’on va de porte au porte et puis on dit « trick or treat ! » et la personne nous donne des bonbons. Oh—et bien sûr, nous sommes bien déguisés. Si quelqu’un ne se déguise pas, il ne reçoit pas de bonbons. J’aimais beaucoup non seulement le « trick or treating » soi-même, mais après que j’étais revenu chez moi, je comptais et organisais les bonbons que j’ai reçu.
Oh, et bien sûr on disait toujours : “Trick or treat, smell my feet, give me something good to eat. If you don’t, I don’t care, I’ll pull down your underwear”.
Aussi, comme vous savez, c’est une journée effrayante, où les phantasmes et les monstres reviennent du mort. On danse aux chansons comme Thriller de Michael Jackson et le « Monster Mash », et c’est très commun de regarder un film d’horreur.
C’est le dimanche alors je ne vais pas sortir ce soir, mais le samedi et le vendredi il y a avait beaucoup de choses à faire. Les déguisements plus célébrés cette année sont Lady Gaga et Snookie (du séries Jersey Shore). Est-ce que tu t’es déguisé, et si oui, de quoi ? Je suis curieux !
dimanche 31 octobre 2010
jeudi 26 août 2010
Ma dérnière année a l’ècole!?
Aujourd’hui c’est la troisième journée des classes ici à mon université, et pour moi c’est l’année finale ! C’est un peu effrayant, parce que je ne sais pas (comme la plupart des personnes) ce que je vais faire après que je finis.
On appelle les quatre années comme « freshman », « sophomore », « junior », et « senior » pour le lycée et pour l’université. Il y a toujours plus de événements spéciales et privilèges pour les « seniors », parce qu’on pense qu’ils sont les plus entraînés, et ils se préparent pour une grande change dans leurs vies.
Et c’est vrai ! Qu’est-ce que je vais faire après l’université ? Je ne sais pas. Il y a toujours quelques idées évidents ; chercher une école pour les études plus hautes, trouver un travaille, etc. Aussi beaucoup de personnes essaient de voyager le monde, ou faire du service volontaire avant qu’ils aient besoin de commencer la « vraie vie ».
Quand on finit à l’école (et encore ça veut dire les universités ET les lycées) il y a une cérémonie de « graduation » où on reçoit les diplômes et on entend les discours avant de pleurer avec les amis. Pour vous en Europe (ou d’ailleurs) souvent vous allez aux universités mais vous vivrez chez vous. Ici on habite à l’université et on revient chez nous quelques fois par année. Alors l’université devient chez nous, et les amis deviennent une famille, donc la perte de cette conforte est très effrayante.
Pour finir on prend beaucoup de classes, du temps en temps spécifiques, et du temps en temps générales. Par exemple j’ai besoin de prendre beaucoup de cours sur l’informatique (parce que c’est ça que j’étudie), mais aussi quelques de les « humanités », et ça peut être l’anglais, le français, la philosophie, etc. J’ai ici l’image d’une partie de la liste de cours que j’ai besoin de finir…
Voilà une image de « graduation » ici à mon université, l’université de Virginie:
On appelle les quatre années comme « freshman », « sophomore », « junior », et « senior » pour le lycée et pour l’université. Il y a toujours plus de événements spéciales et privilèges pour les « seniors », parce qu’on pense qu’ils sont les plus entraînés, et ils se préparent pour une grande change dans leurs vies.
Et c’est vrai ! Qu’est-ce que je vais faire après l’université ? Je ne sais pas. Il y a toujours quelques idées évidents ; chercher une école pour les études plus hautes, trouver un travaille, etc. Aussi beaucoup de personnes essaient de voyager le monde, ou faire du service volontaire avant qu’ils aient besoin de commencer la « vraie vie ».
Quand on finit à l’école (et encore ça veut dire les universités ET les lycées) il y a une cérémonie de « graduation » où on reçoit les diplômes et on entend les discours avant de pleurer avec les amis. Pour vous en Europe (ou d’ailleurs) souvent vous allez aux universités mais vous vivrez chez vous. Ici on habite à l’université et on revient chez nous quelques fois par année. Alors l’université devient chez nous, et les amis deviennent une famille, donc la perte de cette conforte est très effrayante.
Pour finir on prend beaucoup de classes, du temps en temps spécifiques, et du temps en temps générales. Par exemple j’ai besoin de prendre beaucoup de cours sur l’informatique (parce que c’est ça que j’étudie), mais aussi quelques de les « humanités », et ça peut être l’anglais, le français, la philosophie, etc. J’ai ici l’image d’une partie de la liste de cours que j’ai besoin de finir…
Voilà une image de « graduation » ici à mon université, l’université de Virginie:
samedi 14 août 2010
Bonjour mes amis!
Ne vous inquietez pas! Je ne vous ai pas oublie. Je n'ai pas beaucoup ecrit cet ete pour une seule raison:
le TRAVAILLE
Moi j'ai travailler literallement 7AM-11PM chaque journee-- ca veut dire 7.00-23.00
Incroyable n'est-ce pas? Meme les weekends... je vais ecrire et parler de mon travail et pourquoi ca m'a rendu si occupe :P
A plus!!!
(oh et desole, pour le moment je n'ai pas quelques chose pour creer les accents)
le TRAVAILLE
Moi j'ai travailler literallement 7AM-11PM chaque journee-- ca veut dire 7.00-23.00
Incroyable n'est-ce pas? Meme les weekends... je vais ecrire et parler de mon travail et pourquoi ca m'a rendu si occupe :P
A plus!!!
(oh et desole, pour le moment je n'ai pas quelques chose pour creer les accents)
mardi 15 juin 2010
Les types de fête
À l’université il y a beaucoup de fêtes ; je dois dire que j’assiste à une fête presque chaque jeudi, vendredi, et samedi (et du temps en temps les autres jours aussi) ! Mais quand on a les fêtes à l’université aux États-Unis, on a toujours les thèmes. Il y en a beaucoup qui sont très bien connue, mais aujourd’hui j’en ai choisi cinq pour vous expliquer !
Ugly Sweater Party (Fêtes des pulls laids): Pour cette fête, tout le monde porte les pulls qui sont très laids, et c’est d’habitude vers la Noel.
Toga Party : Comme vous savez si vous avez lit ma dernière poste, le système grec des fraternités et sororités est très populaire à l’université. Pour ça, il y a aussi beaucoup de fête où on s’habille comme les peuples grecs !
Heaven and Hell (L’enfer et le paradis) : On choisit entre les deux, et puis on s’habille comme ce qu’on a choisit. Pour ce photo, c’est évidant qu’on a choisit « hell ».
Foam : Il y a les machines qui créent cette écume. En fait, c’est un peu dégoutant, parce qui tout le monde devient mouillé, et d’habitude les personnes perdent leurs chemises.
???? : J’ai cherché mes photos de facebook pour trouver ces thèmes (je suis dans tous les photos ici, est-ce que vous pouvez me trouver?), mais il y avait beaucoup de photos où je n’avais aucune idée ce qui était le thème. Du temps en temps, c’est juste bizarre !
Alors lesquels sont aussi populaires en France ?
Ugly Sweater Party (Fêtes des pulls laids): Pour cette fête, tout le monde porte les pulls qui sont très laids, et c’est d’habitude vers la Noel.
Toga Party : Comme vous savez si vous avez lit ma dernière poste, le système grec des fraternités et sororités est très populaire à l’université. Pour ça, il y a aussi beaucoup de fête où on s’habille comme les peuples grecs !
Heaven and Hell (L’enfer et le paradis) : On choisit entre les deux, et puis on s’habille comme ce qu’on a choisit. Pour ce photo, c’est évidant qu’on a choisit « hell ».
Foam : Il y a les machines qui créent cette écume. En fait, c’est un peu dégoutant, parce qui tout le monde devient mouillé, et d’habitude les personnes perdent leurs chemises.
???? : J’ai cherché mes photos de facebook pour trouver ces thèmes (je suis dans tous les photos ici, est-ce que vous pouvez me trouver?), mais il y avait beaucoup de photos où je n’avais aucune idée ce qui était le thème. Du temps en temps, c’est juste bizarre !
Alors lesquels sont aussi populaires en France ?
lundi 14 juin 2010
Les pourboires
Quelque chose s’est passé l’autre nuit qui m’a rendu FÂCHÉ, et il m’a donné l’idée de parler aujourd’hui sur ce sujet ; les pourboires. Quand on mange aux restaurants ici aux États-Unis, c’est toujours important de laisser un pourboire (un « tip », en anglais). On donne les pourboires pour les taxis, la nourriture, les guides, etc.
La quantité standard c’est 15%. Par exemple, si je prends un hamburger pour $10.00, je paierais $1.50 comme pourboire. Si vous doutez que les américains ne soient pas doués à la mathématique, mangez à un restaurant et vous verrez que ce calcul simple nous donne beaucoup d’ennuie. Pas moi, bien sûr, mes quand l’addition vient, tous mes amis cherchent leurs téléphones portables pour utiliser les calculatrices. Certaines personnes donnent plus ou moins, peut-être 20% ou 10%. Moi je pense que le but c’est de laisser une quantité qui reflet le niveau du service, alors si la serveuse est très attentive, je laisse 20%, sinon, vers 12%.
Maintenant je peux parler de mon histoire. J’étais avec quelques amies pour l’anniversaire de mon ami, à un restaurant. Normalement on choisit le pourboire, mais quand on mange avec beaucoup de personnes (6+, ou du temps en temps 8+), un pourboire obligatoire de 18% et ajouté à l’addition. L’idée c’est que c’est difficile pour une serveuse d’avoir beaucoup de personnes, alors elle mérite un grand pourboire. Mais dans ma propre expérience, quand les serveurs savent qu’ils vont avoir un pourboire obligatoire de 18%, la service est terrible parce qu’ils savent qu’ils vont recevoir 18% en n’importe cas. Alors pour moi, oui, la service était terrible, et quand j’ai reçu l’addition avec le 18% automatique, j’ai écrit un petit mot sur l’addition qui a dit que j’aimerais que le 18% obligatoire soit effacé.
Appelez-moi un bâtard, mais pour moi si le service n’est pas bon, le pourboire ne sera pas bon. Voilà.
La quantité standard c’est 15%. Par exemple, si je prends un hamburger pour $10.00, je paierais $1.50 comme pourboire. Si vous doutez que les américains ne soient pas doués à la mathématique, mangez à un restaurant et vous verrez que ce calcul simple nous donne beaucoup d’ennuie. Pas moi, bien sûr, mes quand l’addition vient, tous mes amis cherchent leurs téléphones portables pour utiliser les calculatrices. Certaines personnes donnent plus ou moins, peut-être 20% ou 10%. Moi je pense que le but c’est de laisser une quantité qui reflet le niveau du service, alors si la serveuse est très attentive, je laisse 20%, sinon, vers 12%.
Maintenant je peux parler de mon histoire. J’étais avec quelques amies pour l’anniversaire de mon ami, à un restaurant. Normalement on choisit le pourboire, mais quand on mange avec beaucoup de personnes (6+, ou du temps en temps 8+), un pourboire obligatoire de 18% et ajouté à l’addition. L’idée c’est que c’est difficile pour une serveuse d’avoir beaucoup de personnes, alors elle mérite un grand pourboire. Mais dans ma propre expérience, quand les serveurs savent qu’ils vont avoir un pourboire obligatoire de 18%, la service est terrible parce qu’ils savent qu’ils vont recevoir 18% en n’importe cas. Alors pour moi, oui, la service était terrible, et quand j’ai reçu l’addition avec le 18% automatique, j’ai écrit un petit mot sur l’addition qui a dit que j’aimerais que le 18% obligatoire soit effacé.
Appelez-moi un bâtard, mais pour moi si le service n’est pas bon, le pourboire ne sera pas bon. Voilà.
dimanche 13 juin 2010
Hazing dans les fraternités
AVERTISSEMENT : Je vais parler de quelques choses aujourd’hui qui sont un peu adultes. Il y a quelques choses sexuels, alors voilà, si tu es très jeune, ne le lis pas !
Aujourd’hui je vais parler de quelque chose que je pense que tout le monde trouvera intéressant ; l’activité de « hazing » dans une fraternité aux universités. Quelqu’un m’a demandé de parler un peu de la vie « Greek » à mon université, mais c’est un très grand sujet, alors je vais diviser la topique.
Alors c’est quoi « hazing » ? Il y a un procès (dont je parlerai un autre temps) très dur pour décider quelle fraternité on va joindre, et puis quand une fraternité choisit quelqu’un (et cette personne choisit aussi la fraternité... oui, c’est compliqué), on commence « pledging ». « Pledging » c’est le temps où nous ne sommes pas les membres officiels mais si nous faisons ce qu’ils disent que nous devons faire pour quelques semaines, nous pouvons « pledge » pour devenir un vrai frère. « Hazing » c’est, en fait, comme la torture qu’on fait pour preuver qu’on veut vraiment joindre une frat, et pour unifier tous les mecs qui le souffrent en même temps.
Il y a quelques tâches qui ne sont pas « hazing » ; par exemple, conduire après que les vrais frères ont beaucoup bu, nettoyer après les grandes fêtes, etc, les tâches domestiques. Mais ce poste s’agit de « hazing ». Voilà, quelques exemples :
Pour une fraternité :
-Aux yeux bandés, les choses étranges sont mises dans leurs bouches. Ça pourrait être une légume, une nourriture dégoutant, ou même un pénis. En fait, c’est assez commun pour les mecs hétérosexuels d’avoir besoin de faire les choses homosexuels pour leurs « hazing ».
-Il y a toujours cette image d’une «paddle » (je ne sais pas une bonne traduction, mais il y a une photo). C’est l’activité typique, d’être frappé par cette chose.
-Pendant « pledging » à mon université c’est très commun de voir les mecs qui s’habillent ridiculement ; par exemple, dans les shorts pour les filles ou avec un sac à dos pour les petites écolières (avec les Power Puff Girls, par exemple).
- Il y a une semaine qui s’appelle « hell week » (la semaine infernale). Pendant ces jours, les mecs ne peuvent rien faire. Ils ne peuvent pas dormir, ils ne peuvent pas manger, etc. On voit dans les cours les mecs qui sont couvert en crasses. C’est le but des vrais frères pendant cette semaine de rendre les « pledges » misérable.
Pour une sororité :
-Toutes les filles ont besoin de s’asseoir sur les journaux, toutes nues. Puis, elles regardent la pornographie jusqu’elles deviennent excitées, et elles peuvent partir quand leurs journaux sont mouillées.
-Toutes les filles sont encore nues, et une fraternité entre avec les feutres. Puis, les mecs dans la fraternité marquent avec les feutres les parties des corps de filles qui ne sont pas parfaits. Par exemple, si un mec pense que la poitrine d’une fille n’est pas assez grande, il mettrait un cercle là pour l’indiquer. Terrible, non ?
Je dois dire que c’est toujours un secret ce qu’ils font, mais j’avais entendu ces choses. C’est quelque chose très sérieux, et bien que ça soit illégal, c’est quand même une réalité pour un mec dans une fraternité.
Je voudrais dire beaucoup de plus mais j’ai peur que ce poste devienne trop long ! Si vous avez les questions plus spécifiques, dîtes-moi !
Aujourd’hui je vais parler de quelque chose que je pense que tout le monde trouvera intéressant ; l’activité de « hazing » dans une fraternité aux universités. Quelqu’un m’a demandé de parler un peu de la vie « Greek » à mon université, mais c’est un très grand sujet, alors je vais diviser la topique.
Alors c’est quoi « hazing » ? Il y a un procès (dont je parlerai un autre temps) très dur pour décider quelle fraternité on va joindre, et puis quand une fraternité choisit quelqu’un (et cette personne choisit aussi la fraternité... oui, c’est compliqué), on commence « pledging ». « Pledging » c’est le temps où nous ne sommes pas les membres officiels mais si nous faisons ce qu’ils disent que nous devons faire pour quelques semaines, nous pouvons « pledge » pour devenir un vrai frère. « Hazing » c’est, en fait, comme la torture qu’on fait pour preuver qu’on veut vraiment joindre une frat, et pour unifier tous les mecs qui le souffrent en même temps.
Il y a quelques tâches qui ne sont pas « hazing » ; par exemple, conduire après que les vrais frères ont beaucoup bu, nettoyer après les grandes fêtes, etc, les tâches domestiques. Mais ce poste s’agit de « hazing ». Voilà, quelques exemples :
Pour une fraternité :
-Aux yeux bandés, les choses étranges sont mises dans leurs bouches. Ça pourrait être une légume, une nourriture dégoutant, ou même un pénis. En fait, c’est assez commun pour les mecs hétérosexuels d’avoir besoin de faire les choses homosexuels pour leurs « hazing ».
-Il y a toujours cette image d’une «paddle » (je ne sais pas une bonne traduction, mais il y a une photo). C’est l’activité typique, d’être frappé par cette chose.
-Pendant « pledging » à mon université c’est très commun de voir les mecs qui s’habillent ridiculement ; par exemple, dans les shorts pour les filles ou avec un sac à dos pour les petites écolières (avec les Power Puff Girls, par exemple).
- Il y a une semaine qui s’appelle « hell week » (la semaine infernale). Pendant ces jours, les mecs ne peuvent rien faire. Ils ne peuvent pas dormir, ils ne peuvent pas manger, etc. On voit dans les cours les mecs qui sont couvert en crasses. C’est le but des vrais frères pendant cette semaine de rendre les « pledges » misérable.
Pour une sororité :
-Toutes les filles ont besoin de s’asseoir sur les journaux, toutes nues. Puis, elles regardent la pornographie jusqu’elles deviennent excitées, et elles peuvent partir quand leurs journaux sont mouillées.
-Toutes les filles sont encore nues, et une fraternité entre avec les feutres. Puis, les mecs dans la fraternité marquent avec les feutres les parties des corps de filles qui ne sont pas parfaits. Par exemple, si un mec pense que la poitrine d’une fille n’est pas assez grande, il mettrait un cercle là pour l’indiquer. Terrible, non ?
Je dois dire que c’est toujours un secret ce qu’ils font, mais j’avais entendu ces choses. C’est quelque chose très sérieux, et bien que ça soit illégal, c’est quand même une réalité pour un mec dans une fraternité.
Je voudrais dire beaucoup de plus mais j’ai peur que ce poste devienne trop long ! Si vous avez les questions plus spécifiques, dîtes-moi !
jeudi 10 juin 2010
La controverse de la "Pledge of Allegiance"
À l’école, avant de l’université, on commence chaque matin en la même façon ; avec notre « pledge of allegiance », ce qui est une petite poème( ?) qu’on dit pour indiquer notre allégeance aux États-Unis. :
“I pledge allegiance to the flag of the United States of America, and to the republic for which it stands, one nation under God, indivisible, with liberty and justice for all.”
=
"J´engage ma fidelité au drapeau des États-Unis d´Amérique et à la République qu'il représente, une nation sous Dieu, indivisible, avec liberté et justice pour tous."
Tout le monde se lève et puis on met la main droite au-dessus du cœur, et on le dit ensemble. Ce n’est pas obligatoire, mais c’est quand même très difficile d’être la seule personne qui ne le fait pas. Oh, et bien sûr qu’on regarde le drapeau (un drapeau des États-Unis se trouve dans chaque salle de classe).
Récemment, il y a de la controverse avec le « pledge », surtout parce qu’il dit « under God ». Ici aux États-Unis, la séparation entre l’église et l’état est une règle qu’on connait bien et qu’on trouve très important. C’est un débat qui existait depuis le début de ce pays ; avec une majorité chrétienne, qu’est-ce qu’on doit faire pour protéger les droits de la minorité, et qu’est-ce qu’on ne doit pas faire ? Les personnes qui ont commencé les États-Unis étaient chrétiennes, alors bien qu’il y ait la liberté de la religion, c’est toujours difficile de trouver une partie du gouvernement où il n’y a aucune trace du christianisme.
C’est difficile de séparer ; quelles références de dieu sont une belle partie de la culture et tradition américaine, et lesquelles enfreignent les droits des autres ?
“I pledge allegiance to the flag of the United States of America, and to the republic for which it stands, one nation under God, indivisible, with liberty and justice for all.”
=
"J´engage ma fidelité au drapeau des États-Unis d´Amérique et à la République qu'il représente, une nation sous Dieu, indivisible, avec liberté et justice pour tous."
Tout le monde se lève et puis on met la main droite au-dessus du cœur, et on le dit ensemble. Ce n’est pas obligatoire, mais c’est quand même très difficile d’être la seule personne qui ne le fait pas. Oh, et bien sûr qu’on regarde le drapeau (un drapeau des États-Unis se trouve dans chaque salle de classe).
Récemment, il y a de la controverse avec le « pledge », surtout parce qu’il dit « under God ». Ici aux États-Unis, la séparation entre l’église et l’état est une règle qu’on connait bien et qu’on trouve très important. C’est un débat qui existait depuis le début de ce pays ; avec une majorité chrétienne, qu’est-ce qu’on doit faire pour protéger les droits de la minorité, et qu’est-ce qu’on ne doit pas faire ? Les personnes qui ont commencé les États-Unis étaient chrétiennes, alors bien qu’il y ait la liberté de la religion, c’est toujours difficile de trouver une partie du gouvernement où il n’y a aucune trace du christianisme.
C’est difficile de séparer ; quelles références de dieu sont une belle partie de la culture et tradition américaine, et lesquelles enfreignent les droits des autres ?
mercredi 9 juin 2010
Lady Gaga
Maintenant, l’épitomé de la culture populaire ; Lady Gaga. Il y a beaucoup de personnes qui la détestent, et beaucoup qui l’aiment, mais la réalité c’est que si on demandait à quelqu’un, « qui est l’artiste la plus grande d’aujourd’hui », la réponse serait « Lady Gaga ».
Les personnes qui ne l’aiment pas pensent souvent qu’elle a un style trop vulgaire. Dans le clip pour « Telephone » par exemple, elle est nue dans une scène, et aussi elle s’embrasse avec une autre fille. Il y a aussi le criticisme qu’elle copie sur Christina Aguilera.
Elle est différente, c’est certain. En fait, quand je l’ai vu pour la première fois, j’ai pensé qu’elle était une artiste Européenne. Elle a un style très original (à mon avis) avec les vêtements et aussi la musique. Ses clips récentes ne sont pas typiques parce qu’ils sont plus comme les petites histoires. Le clip pour Alejandro, ce qui était relaissé hier, Bad Romance, et Telephone sont tous très différents. Le clip pour Bad Romance est la vidéo de Youtube la plus regardée de tous les temps.
Pour moi j’adore Lady Gaga parce que je pense que, vraiment, elle est une bonne personne. Elle n’est pas avide, il parait qu’elle ne prend pas les drogues, et elle fait attention aux topiques importants. Par exemple, elle est une militante forte des droits des peuples LGBT. Alors ce que je veux dire de Lady Gaga c’est cela : Je pense qu’elle est quelqu’un qui change la culture américaine, et qui crée un nouvel âge pour l’art et la musique ici aux États-Unis. Voilà.
Je vous pose quelques questions pour discuter :
Est-ce qu’elle sera encore populaire en cinq années, ou est-ce qu’elle va s’éteindre ?
Laquelle est ta chanson préférée de Lady Gaga ?
Est-ce qu’elle va devenir corrompue ou folle, comme les autres grands artistes (Britney Spears, par exemple, elle était normale et puis un jour, elle n’a plus de cheveux) ?
Les personnes qui ne l’aiment pas pensent souvent qu’elle a un style trop vulgaire. Dans le clip pour « Telephone » par exemple, elle est nue dans une scène, et aussi elle s’embrasse avec une autre fille. Il y a aussi le criticisme qu’elle copie sur Christina Aguilera.
Elle est différente, c’est certain. En fait, quand je l’ai vu pour la première fois, j’ai pensé qu’elle était une artiste Européenne. Elle a un style très original (à mon avis) avec les vêtements et aussi la musique. Ses clips récentes ne sont pas typiques parce qu’ils sont plus comme les petites histoires. Le clip pour Alejandro, ce qui était relaissé hier, Bad Romance, et Telephone sont tous très différents. Le clip pour Bad Romance est la vidéo de Youtube la plus regardée de tous les temps.
Pour moi j’adore Lady Gaga parce que je pense que, vraiment, elle est une bonne personne. Elle n’est pas avide, il parait qu’elle ne prend pas les drogues, et elle fait attention aux topiques importants. Par exemple, elle est une militante forte des droits des peuples LGBT. Alors ce que je veux dire de Lady Gaga c’est cela : Je pense qu’elle est quelqu’un qui change la culture américaine, et qui crée un nouvel âge pour l’art et la musique ici aux États-Unis. Voilà.
Je vous pose quelques questions pour discuter :
Est-ce qu’elle sera encore populaire en cinq années, ou est-ce qu’elle va s’éteindre ?
Laquelle est ta chanson préférée de Lady Gaga ?
Est-ce qu’elle va devenir corrompue ou folle, comme les autres grands artistes (Britney Spears, par exemple, elle était normale et puis un jour, elle n’a plus de cheveux) ?
mardi 8 juin 2010
Native Americans
Quelqu’un m’a demandé de parler des « Native Americans », les peuples qui étaient ici avant que l’Angleterre et les États-Unis. En fait, c’est une histoire triste : je pense que dans toute ma vie, je n’ai jamais fait la connaissance d’un Amérindien.
Pour comprendre, il faut savoir que quand les européens sont venus ici en Amérique, presque tous les amérindien était tués par les maladies. En les autres cas, les colons les ont tués avec les armes pour saisir leurs territoires. Alors il n’y a pas beaucoup qui restent, et ceux qui restent ont beaucoup de problèmes.
Voilà une citation de Wikipedia :
"It has long been recognized that Native Americans are dying of diabetes, alcoholism, tuberculosis, suicide, and other health conditions at shocking rates. Beyond disturbingly high mortality rates, Native Americans also suffer a significantly lower health status and disproportionate rates of disease compared with all other Americans."
— The U.S. Commission on Civil Rights, September 2004
Traduit en français (je sais que ce n’est pas très bien fait, mais j’espère que tu peux le comprendre):
“On savait pour longtemps que les amérindiens meurent du diabète, l’alcoolisme, la tuberculose, la suicide, et les autres maladies rapidement. En plus d’un taux de mortalité très haut, les amérindiens souffrent aussi un niveau de santé très bas et les vitesses de la propagation des maladies disproportionné par rapport à tous les autres américains. "
La chose principale qui aide ces tribus des amérindiens c’est leurs casinos. Pour quelque raison, c’est devenu très commun que les amérindiens créent les casinos, ce qui est très profitable. Mais quand même, c’est triste que ce qui était une culture très forte soit aujourd’hui presque disparu, et que cela s’est passé avec une telle vitesse.
lundi 7 juin 2010
Nos propres stéréotypes!
Vous savez bien que vous avez les stéréotypes pour les Américains. Mais aussi, nous aux États-Unis avons les stéréotypes pour les parties différentes des États-Unis. Ces stéréotypes peuvent être très spécifiques, par exemple, pour un certain type de personne dans une certaine ville.
Mais aujourd’hui je vais diviser les États-Unis en cinq parties, et parler de nos stéréotypes pour chaque partie. Ce sont : le côté d’ouest, le côté d’est, le sud, le centre, et Texas.
Le côté d’ouest : Ce qui est Californie. On pense aux surfeurs, une vie facile et lente, Hollywood, les personnes superficielles, etc. On pense aux personnes qui se relâchent à l’océan et qui fument l’herbe toujours.
Le côté d’est : Commençant au nord de Virginie jusqu’à Boston, il y a beaucoup de grandes villes. On pense aux personnes très occupés, qui travaillent très dur, et qui ne sont pas trop sympas. L’image c’est un mec avec sa serviette qui marche rapidement dans les rues de New York.
Le sud : Ce qui est le côté d’est au-dessous de Washington DC. On pense aux personnes racistes, les accents forts, et les traditions très fortes. Les filles ici, qui s’appellent « Southern Belles », sont très polies, traditionnelles, et riches. C’est plutôt l’argent « vieux », dans les familles des personnes qui ont eu les grandes plantations au passé. Il y avait, bien sûr, une guerre entre le nord et le sud et c’est pour ça qu’il y a une telle différence entre le nord du côté d’est et le sud.
Le centre : Je l’appelle (comme blague, bien sûr), les « fly-over states », ça veut dire les états qu’on ne veut pas visiter, les états qui sont bons pour voir dans une fenêtre d’un avion qui vole à un endroit qui est en fait intéressant (comme Californie, New York, etc), mais rien de plus. C’est cette partie des États-Unis qui est la plus différente qui la mienne. On pense aux personnes très religieuses, qui interprètent la Bible littéralement, les évangélistes. C’est la partie « pauvre » de ce pays, où les personnes vivent dans les « trailer parks » (je ne sais pas comment l’expliquer, alors voilà, une photo).
Texas : Le fait que Texas a sa propre catégorie dit beaucoup. C’est un état qui est très indépendant et, comme vous savez, c’est la tanière de George Bush. On pense aux cowboys, les chevales, et un état qui veut être sa propre pays. Il s’appelle, en fait, la « lone star state » (l’état d’une seule étoile).
Je sais qu’en France aussi il y a beaucoup de stéréotypes pour les parties différents. Est-ce qu’il y a une partie ou ville plus spécifique aux États-Unis dont je dois parler ? Dîtes-moi, mes amis !
Mais aujourd’hui je vais diviser les États-Unis en cinq parties, et parler de nos stéréotypes pour chaque partie. Ce sont : le côté d’ouest, le côté d’est, le sud, le centre, et Texas.
Le côté d’ouest : Ce qui est Californie. On pense aux surfeurs, une vie facile et lente, Hollywood, les personnes superficielles, etc. On pense aux personnes qui se relâchent à l’océan et qui fument l’herbe toujours.
Le côté d’est : Commençant au nord de Virginie jusqu’à Boston, il y a beaucoup de grandes villes. On pense aux personnes très occupés, qui travaillent très dur, et qui ne sont pas trop sympas. L’image c’est un mec avec sa serviette qui marche rapidement dans les rues de New York.
Le sud : Ce qui est le côté d’est au-dessous de Washington DC. On pense aux personnes racistes, les accents forts, et les traditions très fortes. Les filles ici, qui s’appellent « Southern Belles », sont très polies, traditionnelles, et riches. C’est plutôt l’argent « vieux », dans les familles des personnes qui ont eu les grandes plantations au passé. Il y avait, bien sûr, une guerre entre le nord et le sud et c’est pour ça qu’il y a une telle différence entre le nord du côté d’est et le sud.
Le centre : Je l’appelle (comme blague, bien sûr), les « fly-over states », ça veut dire les états qu’on ne veut pas visiter, les états qui sont bons pour voir dans une fenêtre d’un avion qui vole à un endroit qui est en fait intéressant (comme Californie, New York, etc), mais rien de plus. C’est cette partie des États-Unis qui est la plus différente qui la mienne. On pense aux personnes très religieuses, qui interprètent la Bible littéralement, les évangélistes. C’est la partie « pauvre » de ce pays, où les personnes vivent dans les « trailer parks » (je ne sais pas comment l’expliquer, alors voilà, une photo).
Texas : Le fait que Texas a sa propre catégorie dit beaucoup. C’est un état qui est très indépendant et, comme vous savez, c’est la tanière de George Bush. On pense aux cowboys, les chevales, et un état qui veut être sa propre pays. Il s’appelle, en fait, la « lone star state » (l’état d’une seule étoile).
Je sais qu’en France aussi il y a beaucoup de stéréotypes pour les parties différents. Est-ce qu’il y a une partie ou ville plus spécifique aux États-Unis dont je dois parler ? Dîtes-moi, mes amis !
dimanche 6 juin 2010
Entrer à l’université.
Ici aux États-Unis, si tu veux réussir dans la vie, c’est très important d’aller à l’université, ce qui n’est pas un procès facile.
Bien qu’en France vous choisissez ce que vous voulez étudier, et puis vous trouvez une école pour ce sujet, ce n’est pas comme ça en Amérique. Ici, on choisit une école, et puis après à minimal une année à l’université on choisit ce qu’on veut étudier.
Où on va pour l’université est vraiment une marque de prestige. Il y a quelques écoles privées qui s’appellent les « Ivy League » (Harvard, Yale, Dartmouth, Brown, Cornell, Université de Pennsylvanie, Columbia, et Princeton), ce qui sont les plus prestigieuses. Dans le même niveau il y a quelques écoles qui sont aussi privées et même quelques qui sont publiques. Ces écoles sont très difficiles d’entrer.
Je suis très fière de mon université, ce qui est l’Université de Virginie. C’est classé comme la meilleure école publique presque chaque année, et je l’adore. C’était fondé par Thomas Jefferson (un président des États-Unis qui est bien connu pour son travail avec la déclaration de liberté), et aussi pour cette école c’est très difficile d’entrer. Si la « Library of Congress » (c’est la bibliothèque en DC qui est la bibliothèque nationale) est détruit, une bibliothèque à mon université devient la nouvelle bibliothèque des États-Unis.
D’habitude, les prochaines choses décident pour quelles universités on sera accepté :
1. GPA (Ça veut dire « Grade Point Average »). C’est un chiffre entre 0 et 4 qui représente les notes de lycée.
2. SAT (Ça veut dire « Standard Aptitude Test »). C’est un examen qu’on prend pour quantifier la capacité de réussir à l’université. Il y a trois parties (Maths, Anglais, et Écrire), et chaque partie vaut 800 points.
3. Les rédactions. On écrit quelques rédactions. Du temps en temps on a une rédaction « libre », où on peut écrire ce qu’on veut, et aussi une rédaction plus spécifique. Pour mon université, la question était « C’est quoi ton mot préféré, et pourquoi ? ».
4. Les lettres de recommandation. On choisit quelques profs et ils écrivent les lettres pour nous peindre dans une belle lumière.
5. Les activités. On écrit si on fait du sport, si on a gagné un concours, si on s’est engagé comme volontaire, etc.
Alors la combinaison de ces choses (et du temps en temps quelque chose d’autre, comme une interview, ou si un parent est allé à la même école) détermine l’université. Je dirais que la personne typique qui veut aller à l’université fait les applications pour cinq universités.
Bien qu’en France vous choisissez ce que vous voulez étudier, et puis vous trouvez une école pour ce sujet, ce n’est pas comme ça en Amérique. Ici, on choisit une école, et puis après à minimal une année à l’université on choisit ce qu’on veut étudier.
Où on va pour l’université est vraiment une marque de prestige. Il y a quelques écoles privées qui s’appellent les « Ivy League » (Harvard, Yale, Dartmouth, Brown, Cornell, Université de Pennsylvanie, Columbia, et Princeton), ce qui sont les plus prestigieuses. Dans le même niveau il y a quelques écoles qui sont aussi privées et même quelques qui sont publiques. Ces écoles sont très difficiles d’entrer.
Je suis très fière de mon université, ce qui est l’Université de Virginie. C’est classé comme la meilleure école publique presque chaque année, et je l’adore. C’était fondé par Thomas Jefferson (un président des États-Unis qui est bien connu pour son travail avec la déclaration de liberté), et aussi pour cette école c’est très difficile d’entrer. Si la « Library of Congress » (c’est la bibliothèque en DC qui est la bibliothèque nationale) est détruit, une bibliothèque à mon université devient la nouvelle bibliothèque des États-Unis.
D’habitude, les prochaines choses décident pour quelles universités on sera accepté :
1. GPA (Ça veut dire « Grade Point Average »). C’est un chiffre entre 0 et 4 qui représente les notes de lycée.
2. SAT (Ça veut dire « Standard Aptitude Test »). C’est un examen qu’on prend pour quantifier la capacité de réussir à l’université. Il y a trois parties (Maths, Anglais, et Écrire), et chaque partie vaut 800 points.
3. Les rédactions. On écrit quelques rédactions. Du temps en temps on a une rédaction « libre », où on peut écrire ce qu’on veut, et aussi une rédaction plus spécifique. Pour mon université, la question était « C’est quoi ton mot préféré, et pourquoi ? ».
4. Les lettres de recommandation. On choisit quelques profs et ils écrivent les lettres pour nous peindre dans une belle lumière.
5. Les activités. On écrit si on fait du sport, si on a gagné un concours, si on s’est engagé comme volontaire, etc.
Alors la combinaison de ces choses (et du temps en temps quelque chose d’autre, comme une interview, ou si un parent est allé à la même école) détermine l’université. Je dirais que la personne typique qui veut aller à l’université fait les applications pour cinq universités.
samedi 5 juin 2010
Les Souhaites
Pour les américains, on dit qu’il y a certaines occasions où on peut faire un vœu. Ce sont :
1. L’heure 11 :11
2. Quand on éteint les bougies sur un gâteau d’anniversaire
3. Si on voit une étoile filante (et en fait il y a une chanson de Disney qui en fait référence).
4. En soufflant les petites graines d’un pissenlit.
5. Quand on jette les pièces de monnaie dans une fontaine
6. Si deux personnes cassent l’os d’une dinde, ce qui reçoit la partie plus grande peut faire un vœu.
Lesquels sont les mêmes en vos pays ?
1. L’heure 11 :11
2. Quand on éteint les bougies sur un gâteau d’anniversaire
3. Si on voit une étoile filante (et en fait il y a une chanson de Disney qui en fait référence).
4. En soufflant les petites graines d’un pissenlit.
5. Quand on jette les pièces de monnaie dans une fontaine
6. Si deux personnes cassent l’os d’une dinde, ce qui reçoit la partie plus grande peut faire un vœu.
Lesquels sont les mêmes en vos pays ?
vendredi 4 juin 2010
Memorial Day
Le weekend passé s’appelle « Memorial Day Weekend », parce que le lundi est « Memorial Day », et c’est un jour férié. Il faut savoir deux choses en parlant de ce jour :
C’est pour souvenir les soldats qui sont mort pour nous protéger.
Très simple, non ?
Mais quand les personnes parlent de ce jour, c’est plutôt pour les soldes. Tous les magasins ont les soldes, et tout le monde fait du shopping. C’est intéressant que, comme la Noël, un jour sérieux est devenu quelque chose plus commerciale.
C’est pour souvenir les soldats qui sont mort pour nous protéger.
Très simple, non ?
Mais quand les personnes parlent de ce jour, c’est plutôt pour les soldes. Tous les magasins ont les soldes, et tout le monde fait du shopping. C’est intéressant que, comme la Noël, un jour sérieux est devenu quelque chose plus commerciale.
mercredi 2 juin 2010
Bienvenue!
Bonjour à tout mes francophones! J’aimerais bien m’introduire : je m’appelle Alex, j’ai 20 ans, et je suis un garçon américain qui a appris le français à l’école.
Maintenant, je veux partager ma culture ; la culture américaine, avec vous. J’ai déjà commencé quelques choses culturelles : J’ai une chaîne sur Youtube où j’essaie de parler en français (ici), et aussi j’ai un blog de l’argot américain (ici). Mais j’ai crée ce blog pour parler de la culture américaine en générale.
Qu’est-ce qu’on pense de George Bush ? Qu’est-ce qu’on fait comme devoirs à l’école ? Sont les universités vraiment comme ils sont montrés sur la télé ? J’espère répondre à tout ces questions, et de plus ! S’il vous plaît laissez-moi les commentaires, ou suivez-moi pour que vous puissiez voir quand j’ai quelque chose de nouvelle. Je vais ajouter quelque chose chaque journée ! Aussi, dîtes-moi ce que vous voulez apprendre ; quel genre de chose ? Les chansons ? Les films ?
À demain,
Alex
Maintenant, je veux partager ma culture ; la culture américaine, avec vous. J’ai déjà commencé quelques choses culturelles : J’ai une chaîne sur Youtube où j’essaie de parler en français (ici), et aussi j’ai un blog de l’argot américain (ici). Mais j’ai crée ce blog pour parler de la culture américaine en générale.
Qu’est-ce qu’on pense de George Bush ? Qu’est-ce qu’on fait comme devoirs à l’école ? Sont les universités vraiment comme ils sont montrés sur la télé ? J’espère répondre à tout ces questions, et de plus ! S’il vous plaît laissez-moi les commentaires, ou suivez-moi pour que vous puissiez voir quand j’ai quelque chose de nouvelle. Je vais ajouter quelque chose chaque journée ! Aussi, dîtes-moi ce que vous voulez apprendre ; quel genre de chose ? Les chansons ? Les films ?
À demain,
Alex
Inscription à :
Articles (Atom)